F.A.Q.

Le but de chacun d’entre nous est la recherche du bonheur. Le problème est de savoir où et comment le trouver.
L’homme associe généralement le bonheur à la satisfaction de ses besoins. Or, ses besoins évoluent en fonction de son développement socio-économique.

Pour bien comprendre, je vous invite à considérer l’explication de Maslow sur base de sa fameuse pyramide des besoins (pyramide des besoins de Maslow).

La pyramide des besoins selon Maslow

Selon Maslow, les motivations d’une personne résultent de l’insatisfaction de certains de ses besoins.

Les travaux de Maslow permettent de classer ces besoins par ordre d’importance en 5 niveaux. Ce classement correspond à l’ordre dans lequel ils apparaissent à l’individu; la satisfaction des besoins d’un niveau engendrant les besoins du niveau suivant.

L’idée est qu’on ne peut agir sur les motivations « supérieures » d’une personne, qu’elle soit adulte ou enfant, qu’à la condition expresse que ses motivations primaires (besoins physiologiques et de sécurité) soient satisfaites.

La pyramide des facteurs psychologiques dans notre comportement se compose de 5 niveaux qui sont, de bas en haut :

• Niveau 1 – Besoins physiologiques : respirer, manger, boire, dormir, se vêtir, s’abriter contre les intempéries …
• Niveau 2 – Besoins de sécurité : stabilité, ordre, liberté, protection…
• Niveau 3 – Besoins d’amour et d’appartenance : appartenance à un ou plusieurs groupes, affection (aimer et être aimé)…
• Niveau 4 – Besoins d’estime de soi : respect, estime de soi et des autres, accomplissement, force, confiance, compétence…
• Niveau 5 – Besoins d’accomplissement personnel : connaissance et compréhension du monde, réalisation de ses potentialités, maîtrise de son environnement, créativité…

Ainsi, nous aurons les plus grandes peines du monde à parler d’accomplissement personnel à un enfant vivant dans les bidonvilles de Calcutta ou dans certaines régions d’Afrique (le Sahel par exemple) s’il n’a même pas de quoi étancher sa soif ou assouvir sa faim lancinante qui l’empêche de dormir.

Les besoins primaires de l’homme doivent être satisfaits de manière décente et force est de constater qu’ils ne le sont pas encore pour une grande partie de l’humanité qu’il s’agisse de besoins alimentaires de survie ou d’exigences plus élaborées telles qu’un toit, des soins de santé adéquats et une éducation permettant à chacun de s’insérer dans la société et de satisfaire ses besoins sociaux.

Dans nos sociétés dites développées, il semble que la plupart d’entre nous aient cette possibilité de grimper tous les échelons de l’échelle des besoins matériels sans pour autant se sentir, non pas mieux, mais bien tout simplement. Le bonheur n’est donc pas au rendez-vous de la conjugaison à tous les temps des verbes FAIRE, AVOIR, SAVOIR ou même FAIRE SAVOIR.

La démarche se place donc sur un autre plan, celui de l’ETRE et à la suite des philosophies antiques, l’on est amené à reconsidérer cette petite phrase que l’on a attribué à Socrate et que l’on peut voir sur le fronton du temple d’Apollon à Delphes : « connais-toi, toi-même ».

Chacun croit se connaître or, sans à présent plonger dans les nombreuses théories psychologiques, il faut bien admettre que notre personnalité de départ au moment de notre naissance a été largement lissée, façonnée, polluée parfois par notre environnement social et culturel, tout ce qui fait en somme notre éducation. D’ailleurs, le mot lui-même indique son objectif : « e-ducation » ou « ex-ducere », conduire le sujet hors de soi, c’est-à-dire socialiser la personne, le MOI comme disent les psychologues, en lui donnant des règles de vie en société et, au passage, lui prescrire divers interdits.

La connaissance de sa véritable personnalité est pourtant le préalable à toute démarche permettant de se réaliser pleinement conformément à la mission qui a été assignée à chacun. Il s’agit donc de revenir en soi-même dans une démarche d’introspection.
Au-delà du « connais-toi toi-même », nous avons à nous conformer au « deviens toi-même » ce qui veut dire, retrouver sa personnalité véritable et réaliser la mission qui nous a été confiée, ce que Paul Coelho appelle notre « légende de vie ». Ces deux maximes constituent le fil conducteur de ces séminaires de développement personnel.

Je ne peux m’empêcher de vous raconter cette anecdote qui se passe sur le chantier de construction d’une cathédrale comme il en existait des dizaines au temps du moyen-âge. Le maître d’œuvre en l’occurrence l’Evêque de la ville inspecte le chantier en compagnie du contremaître et voyant un petit groupe d’ouvriers en train de tailler des pierres, il demande au 1 er ce qu’il fait ; celui-ci répond : Monseigneur, je gagne péniblement ma nourriture pour survenir aux besoins de ma femme et mes 10 enfants ; le 2 ème explique que son travail consiste à tailler des pierres suivant les formes commandées par le maître maçon ; et quand arrive le tour du 3 ème, l’ont voit briller ses yeux lorsqu’il donne de manière passionnée son explication : je participe, dit-il, à cette grande œuvre de construction de cette cathédrale qui, de par sa forme, son plan et ses figures symboliques montre comment l’humanité s’inscrit dans l’oeuvre de création du monde. Je contribue à l’établissement de ce trait d’union entre ciel et terre.

Tout cela pour dire que le rayonnement d’une personne est largement tributaire de la mission qu’il a identifiée dans sa vie et de la manière dont il la réalise.

A votre avis, lequel de ces 3 ouvriers sera le plus productif pour employer la terminologie de notre société ? L’on sent bien qu’une personne épanouie, bien dans sa peau, intégrée à son environnement et ouverte au monde a plus de chance d’apporter une contribution significative à la société.

Cette démarche est susceptible d’apporter beaucoup à la personne en vue de se sentir mieux et donc d’être plus utile dans son entourage immédiat ou son milieu de travail.

Cela profite directement à sa santé puisque l’on sait maintenant de mieux en mieux comment les troubles de la personnalité, du comportement voire les névroses peuvent se manifester sous la forme de symptômes somatiques et maladies diverses. Avez-vous déjà songé au poids des mots ‘maladie’ ou ‘mal à dire’ qui s’exprime, à défaut de mots dans les maux de notre corps.

Les méthodes permettant de mieux se connaître sont également valables pour mieux connaître les autres, ce qui améliore la communication. C’est bien entendu fort utile pour tous les métiers communiquant, c’est-à-dire presque tous : l’avocat souhaite décrypter son client aussi bien que les représentants de la partie adverse ; le journaliste doit comprendre les motivations des sujets observés pour affiner l’information donnée à ses lecteurs ou auditeurs ; le chef de projet doit comprendre les forces et faiblesses de ses collaborateurs pour pouvoir optimiser le fonctionnement de son équipe et anticiper les problèmes et dérapages ; c’est donc un outil incontournable dans la gestion des ressources humaines et de manière plus générale dans le domaine des relations humaines. Les plus grands dysfonctionnements de nos institutions ont pour cause, non pas principalement un manque de professionnalisme mais bien plutôt une communication viciée qui fait que l’on recherche par exemple avant tout la réussite de son activité ou l’amélioration de son image sans se soucier des enjeux humanitaires sous-jacents. Or, ce type de comportement est prévisible lorsque l’on connaît le mode de fonctionnement principal de la personne.

Par conséquent, cette démarche s’avère précieuse pour :

• l’individu à titre personnel ou professionnel,
• les parents et éducateurs,
• l’entreprise et les institutions.

Cette approche peut servir des objectifs d’amélioration de la communication tout comme elle peut accompagner un cheminement spirituel. Le scope est donc très large.

Les exigences de rentabilité et d’efficacité dans un contexte très concurrentiel font peser sur le monde du travail une pression qui devient de plus en plus importante. Il est donc vital que le travailleur dispose des outils et techniques lui permettant de décrypter les exigences et contraintes du changement et surtout ses propres modes de fonctionnement afin d’adapter ses prestations à ces nouvelles contraintes.

Cela peut consister pour le travailleur à :

• améliorer tout simplement ses modes de communication,
• ou plus fondamentalement accepter de rentrer plus facilement dans des mécanismes de mobilité au sein de l’entreprise.

Pour lui, cela signifie un environnement beaucoup plus détendu et donc un mieux-être bienfaisant pour l’équilibre et la santé de tous.

Cela consiste pour l’employeur à :

• assurer une meilleure adéquation entre les descriptions de postes et les profils des candidats,
• augmenter la qualité des processus opérationnels.

En prime, l’employeur peut constater les effets positifs à moyen terme dans les indicateurs de gestion des ressources humaines : taux d’absentéisme et de maladie, ratios de productivité et de rentabilité, indicateurs de rotation externe du personnel.

L’efficacité des entreprises passe avant tout par l’optimisation de la gestion des ressources humaines : un travailleur épanoui au service d’une entreprise florissante où les valeurs partagées constituent le moteur de progrès.

C’est Sénèque qui disait qu’il n’y a de bon vent que pour celui qui sait où il va. C’est vrai pour la personne comme pour l’entreprise. Par conséquent ce n’est pas le formateur qui génère les résultats; chacun retire de l’exercice des avantages à hauteur de son implication personnelle; c’est à chaque personne qu’il revient d’identifier en toute liberté ses objectifs ou sa mission. Cela suppose qu’elle soit mûre pour entreprendre cette démarche. Certains passent l’entièreté de leur vie sans songer un seul instant à se poser la moindre question de ce type.

Lorsque le questionnement se manifeste, alors ce type de séminaire peut faciliter l’émergence des réponses et dans ce contexte, l’animateur ne fait que mettre à disposition les outils et méthodes facilitant le cheminement personnel.

C’est Sénèque qui disait qu’il n’y a de bon vent que pour celui qui sait où il va. C’est vrai pour la personne comme pour l’entreprise. Par conséquent ce n’est pas le formateur qui génère les résultats; chacun retire de l’exercice des avantages à hauteur de son implication personnelle; c’est à chaque personne qu’il revient d’identifier en toute liberté ses objectifs ou sa mission. Cela suppose qu’elle soit mûre pour entreprendre cette démarche. Certains passent l’entièreté de leur vie sans songer un seul instant à se poser la moindre question de ce type.

Lorsque le questionnement se manifeste, alors ce type de séminaire peut faciliter l’émergence des réponses et dans ce contexte, l’animateur ne fait que mettre à disposition les outils et méthodes facilitant le cheminement personnel.

Les séminaires font appel à des techniques classiques telles que la PNL (programmation neuro-linguistique) et l’Analyse Transactionnelle.

Les techniques de PNL ont tout simplement pour but d’améliorer notre communication en reprogrammant notre façon de comprendre les informations ou messages verbaux ou non verbaux que nous recevons de notre entourage.

De même l’Analyse Transactionnelle facilite la communication en expliquant quel est le personnage qui parle en nous du Parent, de l’Adulte ou de l’Enfant : c’est le principe du TRIPLE MOI.

Au-delà ce ces techniques classiques de communication, nos séminaires utilisent également les techniques de l’hypnose.

Enfin, l’Ennéagramme est utilisé comme outil de connaissance de soi mais également comme support de développement et d’épanouissement.

L’Ennéagramme est une carte de notre vie intérieure. Comme son nom l’indique, il se présente sous la forme d’une figure (« gramme ») comportant 9 éléments (« ennnéa »).

L’Ennéagramme nous fait prendre conscience que nous filtrons toujours l’information de la même façon en fonction de notre personnalité. Cette personnalité n’est que le masque principal que nous avons utilisé enfants et qui nous a aidé à nous adapter à notre environnement. Ce comportement privilégié était celui qui, enfants, nous permettait de recevoir le maximum d’attention ou d’affection mais avec le temps, nous avons fini par oublier que ce comportement n’était pas le seul possible. L’Ennéagramme nous propose de redécouvrir notre potentiel inexploité c’est-à-dire les comportements que nous utilisons peu ou pas du tout.

Vous êtes au restaurant avec votre épouse. Votre attention est focalisée sur les lenteurs du service ou les imperfections de l’accueil. Peut-être que les vins ne sont pas à la hauteur de vos attentes. Votre épouse, par contre, apprécie le bouquet de fleurs sur la table, les dentelles de la nappe et l’esthétique de la décoration. Tous deux, vous avez vécu la même situation mais de manière complètement différente. L’un a souffert tout spécialement des imperfections du service, l’autre a apprécié la beauté de la décoration.

Quelle importance, me direz-vous ? En fait, là où nous mettons notre attention, nous mettons de l’énergie parfois inutilement. Pourquoi ne pas mettre toute notre énergie dans les activités et réalisations qui nous tiennent particulièrement à cœur et qui permettent de nous épanouir. Le modèle de l’Ennéagramme nous invite à découvrir nos schémas répétitifs et, une fois découverts, de mieux canaliser notre énergie.

L’observation de soi est une des clés pour utiliser la carte de l’Ennéagramme.

Les auteurs s’accordent pour dire qu’il nous viendrait de Pythagore

L’école pythagoricienne influencera notamment les 1ers moines chrétiens, ceux que l’on a appelé les Pères du désert qui vont développer la théorie des passions ou des péchés capitaux qui paralysent notre développement.

Le soufisme, branche mystique de l’Islam, utilise un diagramme proche de l’Ennéagramme qui nous invite à entreprendre la ‘jihad’ c’est-à-dire la guerre sainte… contre notre EGO.

La théorie des passions se retrouve au 14ème siècle chez Dante qui évoque dans la Divine Comédie les 9 grands axes où chacun est libre de lutter contre sa passion et de s’élever vers les 9 marches du paradis ou de choisir la facilité et de succomber vers les 9 cercles de l’enfer.

Gurdjieff (1877-1949), écrivain et philosophe russe ramène l’Ennéagramme d’un de ses nombreux voyages en Asie Mineure dans un souci d’associer la sagesse de l’Orient à celle de l’Occident. Formé auprès de 3 courants principaux l’Eglise orthodoxe, le soufisme et la tradition tibétaine, il va former de nombreuses personnalités occidentales à son modèle qui va, à partir des années 1980, être enseigné dans les facultés de psychologie des plus grandes universités américaines.

L’Ennéagramme se présente sous la forme d’un cercle qui est censé représenter notre personnalité dans sa globalité. Les mystiques du Moyen Age se représentaient l’âme du monde sous la forme d’un cercle. Le cercle contient tous les types humains. Il a la même forme que le zéro d’où procèdent tous les autres nombres. Dans la langue arabe, le mot ‘sifr’ veut dire aussi bien ‘zéro’ que ‘chiffre’ ou nombre. C’est dans le cercle que se décrit le monde là où se déroulent des processus et notamment le développement de l’homme.

L’étape suivante consiste à structurer ce cercle par un processus de création. Le cercle féminin est fécondé par les 3 lignes masculines du triangle. Le triangle figure également la trinité qui est reconnue dans la plupart des religions monothéistes mais aussi les 3 centres de notre intelligence : le centre mental, le centre physique ou instinctif et le centre émotionnel. Un des objectifs de notre développement est d’assurer un équilibre entre ces trois centres. Par ailleurs, tout processus est généré par 3 forces que l’on peut appeler : la thèse, l’antithèse et la synthèse.

Maintenant que les 3 forces agissent dans le cercle du monde, elles suscitent des réactions et des effets. Il en résulte un hexagone bizarrement structuré qui s’ouvre vers le bas et qui reproduit la logique intérieure des forces qui président à tous les événements. Chaque événement suit le même parcours que la ligne de l’hexade 1-4-2-8-5-7 en revenant au point de départ. La symbolique de ce tracé nous fait comprendre comment les faits et événements s’enchaînent en mêlant périodes de régression et d’évolution.

L’Ennéagramme est donc un modèle symbolique qui nous permet de mieux nous situer dans notre évolution personnelle et contribue ainsi à une meilleure maîtrise des paramètres de notre épanouissement et de notre bonheur.

Les sommets de ces figures constituent 9 points sur le cercle qui permettent de reconnaître les différentes forces qui nous animent. Les règles de base de l’Ennéagramme peuvent se résumer de la manière suivante :

• Tout homme développe un trait de caractère central comparable à un axe autour duquel s’exprime et se forge sa personnalité;
• Ce trait de caractère provient du système de défense mis en place par l’enfant;
• Ce système de défense s’exprime dans nos habitudes et est le plus souvent inconscient;
• Il limite notre vision du monde ne laissant place qu’à une manière de voir la réalité;
• Les 9 points de l’Ennéagramme représentent ces 9 façons limitées de nous comporter;
• Ils correspondent à 9 blessures d’enfance ou 9 passions handicapantes.

Là où est la blessure, est aussi la guérison, ce qui signifie que, connaissant notre mode principal de fonctionnement, je peux décider d’élargir ma vision du monde et donc mes capacités et mon potentiel.

Tout modèle est simplificateur et réducteur. Dans le cas de l’Ennéagramme, il ne s’agit pas d’un modèle figé ou statique mais bien d’un modèle dynamique de libération et d’émancipation de la personne tant sur le plan des concepts utilisés que de la méthode appliquée pour l’enseigner.

Sur le plan des concepts :

• Chaque base est complétée d’une aile permettant à chacun de se situer sur l’un quelconque des points du cercle en nombre infini;
• En fonction de son évolution personnelle, chaque individu peut évoluer dans une direction de désintégration en situation de stress ou de libération en situation de sécurité (notion de flèche);
• Une fois compris son mode de fonctionnement principal, chacun est amené à se développer en transformant sa passion en vertu et progresser ainsi vers différents niveaux de libération;
• Enfin chacun est amené à enrichir sa vision du monde et élargir son potentiel en empruntant capacités et compétences d’autres types.

Sur le plan de la méthode :

• Chacun est amené à découvrir lui-même son type ou mode de fonctionnement principal à travers divers exercices ou jeux de rôle; chacun conserve la main pour son propre développement.

Suivant la tradition de l’Ennéagramme, son enseignement reste très largement oral c’est-à-dire interactif et dynamique.

Notre organisation propose des séminaires de développement personnel sous différentes formules :

• Séminaires résidentiels d’une durée habituelle de 4 jours; la formule résidentielle a l’avantage de créer un climat propice à la réflexion puisqu’il permet à chaque participant de s’évader de ses contraintes quotidiennes;
• Séminaires en régime externe de 4 jours étalés ou non, l’étalement sur plusieurs semaines permettant d’intégrer les concepts plus en profondeur;
• Formules mixtes comprenant 2 X 2 jours.

Bien évidemment des formules sur mesure peuvent être adaptées aux besoins spécifiques des entreprises ou des individus.

Dans tous les cas, la méthode donne la préférence aux exercices en groupe et jeux de rôle afin d’assurer la dynamique du modèle.

Si le groupe le souhaite, il est envisageable d’organiser des séances de suivi de groupe afin d’effectuer le bilan des acquis et d’identifier, le cas échéant, les modalités d’optimisation.

En tout état de cause, la formule de coaching permet d’assurer un suivi individuel à la mesure des attentes de chacun.